Oui, je veux être tienne, je veux que tu sois possessif, que tu sois jaloux et que tu deviendrais fou si un autre que mon conjoint s'approchait de moi. C'est un sentiment très curieux que j'éprouve là. Parce que d'habitude je crie haut et fort mon indépendance.
Quand tu m'as dit sur un ton d'un sérieux incroyable que tu me partagerais jamais avec qui d'autre que mon mari, cela m'a fait chaud au coeur...
Quand tu m'as dit sur un ton d'un sérieux incroyable que tu me partagerais jamais avec qui d'autre que mon mari, cela m'a fait chaud au coeur...
Moi aussi je voudrais pouvoir crier ça ! Je dis que je ne suis pas jalouse de sa légitime. Bien sûr que j'en suis malade de frustration. Mais elle était là avant moi, elle lui apporte tout ce que je ne peux pas lui donner, comme les joies avec les enfants, une vie sociale et familiale, même un + dans le relation le professionnel.
RépondreSupprimerChacune sa place finalement et c'est bien.
Mais parfois j'ai tout de même la puce à l'oreille. Et le palpitant en émoi. " mais où il est? Mais qu'est-ce qu'il fait? Mais pourquoi il ne m'a pas prévenu? " quand un "programme" change, un RV manqué. J'ai peur de la troisième jambe.
Notre relation n'a certes rien de banal. La séduction n'est pas que physique. Et je supporte donc qu'il me trompe avec sa légitime. Une autre serait une vraie menace ! Si elle lui tournait la tête ou allait lui faire du mal ?!
J'ai un code d'honneur et de respect vis à vis de sa famille. Pas sûr que je carderais le même avec pas envie de tirer les cheveux d'une autre. Grrrrr.
En même temps , je ne vais pas m'abaisser à des caprices comme ça. Ça me ferait souffrir d'apprendre que oui, il fait plus que de regarder un joli physique quand il se sent seul, qu'il se fait consoler physiquement de la monotonie quotidienne par une autre que moi.
C'est comme si j'acceptais mon sacrifice pour qu'il ait droit à toutes les joies de sa vie de famille. Me priver de mon temps de câlins pour qu'il les partage avec une troisième ? Mais pourquoi pas 4 alors ? Ça va pas la tête ?
Les filles, je vous préviens : je griffe et je mors.