vendredi 30 septembre 2011

Sans enfants, mais mariés. Est-ce que mon amant et moi quitterions-nous nos conjoints?

J'ai retiré ce message et après réflexion, je l'ai remis. Je ne crains aucun commentaire. J'écris juste ce que je ressens, tout en sachant que de toute façon on est mariés les deux. On a des enfants. On aime nos conjoints. On n'est plus amoureux d'eux, mais on les aime quand même. On les connaît peut-être juste trop bien. Il n'y a plus de nouveautés, ils n'ont plus de secret pour nous. Peut-être qu'ils se sont trop dévoilés. Ce qui est beau d'un autre côté... Mais là, je suis un peu prétentieuse de parler de nous. Au fond, je peux que parler pour moi, pour mon couple.

Kenan et moi avons donc nos familles respectives. Si j'étais mariée,  mais n'aurais pas d'enfants, est-ce que je quitterais mon mari pour Kenan? Et lui? Ferait-il de même pour moi, s'il n'avait pas d'enfants et serait seulement marié? Je peux répondre par l'affirmatif pour moi et je suis presque sûre que Kenan ferait de même.

Bien entendu, il y aurait le risque que cette relation ne soit pas celle que nous nous imaginions puisque notre attrait est peut-être en partie  si grand parce que nous vivons notre relation en cachette, qu'elle ne fait pas vraiment partie de notre vie de tous les jours... etc.

Pourquoi donc se poser cette question? Parce que j'aime me poser des questions, tout en ne niant en aucun cas la réalité. Juste comme ça.
Tout est clair entre Kenan et moi. On ne se séparera pas de nos conjoints.

Les pensées sont libres. La seule et véritable liberté...

mardi 27 septembre 2011

Souvenir du premier rendez-vous et lieux insolites....

Je viens de tapoter un long post - la déscription de notre premier rendez-vous - sur mon clavier. J'ai tout effacé. C'est trop personnel. Mais je suis contente de l'avoir écrit quand même, de m'être rappelée cette intensité où dès la premiere fois j'ai décollé comme jamais auparavant. Dès la premiere fois il m'a fait découvrir des choses que jamais j'aurais pensé aimer... Mais je ne restais pas en arrière. Moi aussi, je lui ai fait découvrir  des sensations jamais éprouvées. Quel bonheur de me souvenir de ces moments d'extase pendant lesquels je ne savais plus où ni qui j'étais.

J'ai eu un énorme plaisir aujourd'hui parce qu'on a fixé un rendez-vous pour notre prochaine rencontre. Mon corps et mon coeur tréssaillent déjà de plaisir et de bonheur...

J'essaie  de me rappeler dans quels endroits un peu insolites j'ai déjà baisé, mais ils n'ont rien d'extraordinaire: auto, forêt, balcon, mer, plage, dans une ruine où il y avait des touristes qui visitaient le site, piscine, bureau. J'en oublie certainement...

J'aimerais une fois tenter l'expérience dans une cabine d'essayage, dans un ascenseur, dans une rue mal éclairée. Je manque d'idées tout d'un coup... Je suis sûre que Kenan pourra combler ce manque d'idées. Il a une imagination débordante... Ou alors VOUS!!!

dimanche 25 septembre 2011

Que recherchons-nous dans nos amant(e)s?

Je suis quelque part interloquée... parce que je viens de constater que Kenan et mon mari ont beaucoup de ressemblences - absolument pas physiquement - mais leurs caractères se ressemblent.

Mon mari s'est assagi, est devenu plus tempéré avec les années. En Kenan je retrouve les traits de caractère de mon mari quand il était plus jeune....

Aurais-je été attirée par mon amant, parce que je retrouvais quelque part en lui mon mari étant jeune et dont j'étais tombée follement amoureuse?

Qu'est-ce qu'on recherche dans nos amant(e)s?La "copie" de notre conjoin(t)e quand nous sommes
tombé(e)s   amoureu(x/ses) de lui ou d'elle? Ou alors la complémentarité? Ou le contraire? Ou rien de spécifique?

Consciemment je n'ai rien recherché du tout, même pas un amant. C'est l'impression que j'avais en tout cas. Mais j'ai un certain doute maintenant. Est-ce que mon inconscient serait responsable de cette belle histoire? Ce serait lui le coupable, peut-être? Si c'est le cas je remercie mon inconscient qui m'a permis de découvrir un tas de choses, aussi  sur moi-même, sur cet être que je croyais jusqu'il y a pas si longtemps d'une moralité irréprochable (rire), peu compliqué... J'ai bien changé depuis. MAIS JE NE REGRETTE SUROUT RIEN DU TOUT! Ni ce que j'ai vécu et fait, ni le fait que j'aie changé.

jeudi 22 septembre 2011

Je profite du moment présent

Quelles magnifiques journées d'automne, ensoleillées, chaudes, colorées! Quel bonheur de pouvoir voir, sentir, respirer cette saison. J'adore ce début d'automne.

Malgré mon manque de Kenan - on n'arrive pas à se voir ces temps-ci -  je profite pleinement de ma vie. J'ai enfin retrouvé mon enthousiasme qui me faisait défaut pendant quelques semaines.

J'ai décidé de me reprendre en main et de prendre les choses avec Kenan comme elles viennent. Si on arrive à se voir, tant mieux! Si on arrive à se faire du plaisir virtuellement, tant mieux! Mais je ne veux plus trop réfléchir  à cette relation. Je veux profiter des bons et des beaux moments avec mon amant quand j'en ai l'occasion. Et je veux également pleinement profiter de ma vie principale. Assez de réflexions, assez d'interrogations! JE PROFITE DU MOMENT PRESENT.

mardi 20 septembre 2011

Baise virtuelle - un plaisir super!

Cet après-midi j'ai eu une relation sexuelle VIRTUELLE torride avec Kenan; d'une intensité incroyable...!!!  Je n'en reviens pas. Les mots tapotés sur mon clavier s'enchaînaient et se déchaînaient. Mon imagination débordait. J'étais dans un autre monde. J'ai failli oublier que j'avais un rendez-vous important. J'ai tout juste eu le temps de m'y rendre , les joues encore en feu, mon corps toujours frémissant, les yeux certainement brillants encore de désir. 

Il me semblait que tout ce que je venais d'échanger comme sms avec mon amant devait se lire sur mon visage... J'aurais choqué plus d'une personne!

Je croisais du monde dans la rue et les regards posés sur moi restaient insistants mais bienveillants. Je devais avoir l'air d'une femme:  bien baisée.... même si cette fois-ci c'était que virtuellement.

Quelle chance quand même de vivre dans cette ère virtuelle, en tout cas pour de tels moments fous;  qui nous remplacent bien entendu que modérément nos vraies rencontres. Mais tout de même...

dimanche 18 septembre 2011

Relations humaines... ;-))) un vrai défi!!!!

La pluie tambourine sur le toit et contre les fenêtres.  J'adore cela. Je suis déjà allée marcher. Il fait frais dehors. Les forêts commencent à changer de couleur. L'automne s'annonce. Chaque changement de saison m'émerveille. Ce qui me ramène à moi: J'aime le changement dans ma vie. Je supporte assez mal la routine. C'est pour cela que j'aime les défis. Il y a pas si longtemps j'ai encore fait des études. J'étais la plus vieille entre les étudiants. Mais cela ne me dérangeait pas. Il y avait une  bonne entente entre nous tous. C'était enrichissant.

En rentrant à la maison j'avais des choses à raconter. De me voir étudier -  ma volonté de réussir et de tout faire pour - a aussi fait du bien aux enfants. Ils ont vu qu'à force de travailler, on pouvait arriver à ses fins. Le plus fier de la famille était mon mari qui m'a soutenue activement pendant toute cette période. Bien sûr nos habitudes ont été chamboulées, mais finalement tout le monde a aimé.

Hier j'étais dans l'interrogation concernant ma relation conjugale. Le bonheur de mon mari dépend entièrement de moi, que de moi! Il a déjà coupé le cordon ombilical avec nos enfants. Ils les sait prêts à prendre leur envol dans leur propre vie. Donc tout son amour,  sa vie, ses attentes, sont basés sur moi. Il aspire à passer le plus de temps possible avec moi. D'entreprendre des choses avec moi. C'est beau, j'en conviens. Pourtant c'est lourd à porter parce qu'il ne veut plus rien faire d'autre que vivre notre relation intensément. Rien d'autre n'existe et n'a d'importance pour lui. Cela me pèse des fois et cela me fait peur. Je n'ai pas envie que son bonheur dépende que de moi. Je m'y refuse. C'est pour cette raison, entre autres, que j'ai envie de m'impliquer professionnellement encore plus. Cela me donne la possibilité de partir, de m'échapper. Et j'ai envie de faire de nouvelles connaissances, de nouvelles amitiés, d'avoir une vie sociale rien qu'à moi. Ma relation avec Kenan a peut-être pu naître à cause de ce besoin de m'échapper...

J'aimerais que mon mari ait ses propres centres d'intérêts, ses propres relations d'amitié. On en a déjà discuté maintes fois. Rien à faire. Il veut rien savoir. Il n'a pas toujours été ainsi. Il était  indépendant. Il avait son travail, ses hobbies. Depuis quelques années il a changé.

Je l'aime pourtant. Mais il y a un  déséquilibre entre son amour pour moi et mon amour pour lui... Il le sent et le sait bien.

Quand son amour devient trop étouffant, j'ai besoin de m'enfuir, du moins intérieurement. Je prends mes distances et deviens un peu froide envers lui, ce qui me fait mal en même temps. Mais je ne peux réagir autrement dans ces moments-là.

Ah, les relations humaines... ;-) un vrai défi!!!!

vendredi 16 septembre 2011

Courir sur place pour mieux avancer plus tard...

Cette relation avec Kenan, émotionnellement très intense avec ses hauts et ses bas pendant des mois et des mois, m'a en quelque sorte épuisée sur le plan psychique.

Depuis le début de la  longue absence de Kenan et le survenu d'un calme côté professionnel, je ressentais comme un vide. Manque de motivation. Pourtant je n'avais aucun manque d'énergie. Mais je n'avançais plus. Je courais sur place. C'était l'impression que cela me donnait. Je crois que j'avais besoin de ça. Courir sur place pour pouvoir mieux avancer après, quand on y est prêt.

Et je suis prête. Je bouillone d'idées.J'ai retrouvé la motivation pour concrétiser ces idées, surtout côté  professionnel, ce qui me remplit de joie. J'ai besoin de projets, de défis. Autrement je commence à m'ennuyer. Donc je n'étais pas seulement en manque de mon amant mais aussi en manque de projets très précis. Ce n'est plus le cas. J'aurai  moins de temps à réfléchir à cette relation complexe et compliquée que j'entretiens avec Kenan. Et cela peut être que bénéfique...

Vive la vie, vive l'amour, vive la relation complexe et compliquée....!!!!!   ;-)))

mardi 13 septembre 2011

"Régime relation (amour) extraconjugale" - à proscrire aux âmes trop sensibles...!!! Mais perte de poids garantie...

J'avoue que je suis une droguée... qui s'en est sortie partiellement.

 
Jusqu'il y a pas si longtemps ma seule drogue était le café et  arriva alors Kenan.

Avec lui tout à commencé avec un café... Eh oui, la drogue douce m'a menée à la drogue dure: à Kenan.

Ce n'était pas le coup de foudre de mon côté. C'était quelque chose d'indéfinissable en lui qui m'attirait comme un aimant. Quelque chose dans cet homme m'avait touchée  pour que je baisse mes gardes et que je sois prête à faire le grand saut - dans l'adultère.

Nous nous écrivions souvent. Sentimentalement je restais prudente. Surtout pas tomber amoureuse!! Notre entente physique était incroyable dès le début, du jamais vécu des deux côtés.  C'était sublime, intense, extraordinaire. On était si bien ensemble.

Il m'était étonnamment facile de séparer ma vie conjugale de ma vie extraconjugale.

Arriva, après quelques mois,  cette fois où Kenan était complètement déboussolé, triste, déchiré entre sa mauvaise conscience envers les siens et  les sentiments  qu'il éprouve pour moi. En le tenant dans mes bras à ce moment-là, j'ai lâché prise. Je me suis laissée envahir par un amour qui semble avoir attendu ce moment précis pour se déclarer.

Jusqu'à ce moment-là je gérais assez facilement, ne m'ayant pas laissée entraîner sentimentalement dans cette histoire. Mais à présent c'était autre chose.

Un manque pas croyable, des souffrances que je ne pouvais expliquer à personne. Je devais tout garder pour moi. C'était extrêment pénible. Les rares fois, où on se voyait à cette période-là, étaient toujours aussi extraordinaires.Le souvenir de ce bonheur, ressenti avec lui à ces moments-là,  me rassasiait pour quelques jours. Et ensuite cela  recommençait: manque, souffrance et ainsi de suite. Kenan était ma drogue, ma drogue dure.

Quand j'étais en manque, je ne mangeais plus. Quand j'étais heureuse, je ne mangeais plus non plus. Mes kilos partaient donc à toute vitesse et mon mari commençait à se faire du souci en pensant que je pouvais être malade... J'étais effectivement malade, malade d'amour. Un amour pourtant bien différent de celui que j'éprouve pour mon compagnon de vie.

Kenan, de son côté, perdait également beaucoup de poids. Pour les mêmes raisons que moi.


On est resté raisonnables. On n'a jamais évoqué une vie future possible. Dès le début il était clair pour nous deux que nous voulions préserver nos familles, rester avec nos conjoints respectifs.

 
Il y a quelques mois, on a gentiment commencé à remanger, à revivre notre vie sans être trop obnubilé l'un par l'autre et je crois qu'on a trouvé notre vitesse de croisière qui nous permet de vivre notre double vie sans trop souffrir, mais plutôt d'en jouir. Sur la balance - bien que je puisse parler que pour moi - le bonheur est plus important que la souffrance. Donc ça va bien actuellement.  Bien entendu, nous ne nous voyons pas assez souvent. Il y a toujours un manque. Mais ce manque est supportable maintenant.

Quand Kenan était longtemps loin cet été,  je recommençais à souffrir et par dessus tout à douter de ce qu'il disait éprouver pour moi.

Il m'a rassurée à présent et je me sens apaisée et confiante. 

Vivement notre prochaine LONGUE RENCONTRE!!!!

Quand je suis avec Kenan, je suis dans un autre monde. Je vis ce moment avec lui avec une intensité indéscriptible. J'essaie de m'imprégner complètement de lui, de tout enregistrer, chaque geste, chaque mouvement de son corps,  chaque caresse, chaque mot, chaque expression dans ses yeux et dans son visage, son goût, son odeur, la sensation du toucher de sa peau, de sa bouche et ainsi de suite....

Nous parlons bien entendu aussi ensemble, mais je dois constater que lors de nos rencontres je suis tellement heureuse et - nerveuse - que je perds un peu de ma lucidité parce que je réponds des fois un peu - à côté -, quand il me pose une question. Mais j'ai l'impression qu'il ne s'exprime pas toujours clairement dans ces moments-là. Pourtant c'est quelqu'un de très logique et clair dans sa façon de penser, de parler et d'agir,  d'habitude en tout cas. J'en déduis qu'il a les mêmes émotions que moi. Bonheur, nervosité et autres..... Et cela me plaît...

Plus tard, seule, calmée et revenue sur terre,  j'essaie d'analyser et de comprendre ce qu'il voulait vraiment me dire et ce qu'il a pu penser de ma réponse, et, et, et, ça tourne dans ma tête. Pourquoi essayer de tout comprendre et analyser? Parce que Kenan est important pour moi et j'aimerais connaître le fond de sa pensée,  ses émotions,  ses sentiments et tant d'autres choses de lui. Voilà pourquoi! Et j'ai compris qu'il avait également envie de connaître tout cela de moi... Cela fait plaisir, non?

Vivement notre prochaine longue rencontre!!!! afin que nous puissions enfin longuement parler ensemble. Mais il se peut qu'on fera autre chose...

dimanche 11 septembre 2011

Nous nous ressemblons tous.

Je me demande si les créateurs de blog comme moi se sont déjà aventurés sur la petite icône "statistiques". Je l'ai fait par curiosité et qu'est-ce que je vois? Mon blog serait lu en France, Suisse, Belgique, Canada, Allemagne, Algérie, Italie, Polynésie française, Russie? Je suis tout simplement fascinée! C'est extraordinaire.

Bien entendu, je n'ignorais pas le fait qu'on se trouve quand même sur le Web. Mais c'est génial de penser qu'on peut se lire à l'autre bout du monde et se répondre aussitôt. Capter les pensées des uns et des autres.

C'est clair que je savais tout cela, mais entre savoir et réaliser il y a un gouffre... C'est tout simplement formidable que je puisse lire un commentaire de quelqu'un qui vit à des milliers de km de moi et qu'on puisse entrer en communication... Mais ce qui me fascine encore plus est le fait qu'apparemment le sujet d'une "relation extraconjugale" préoccupe beaucoup de personnes, indifféremment du pays où elles vivent.

Bien sûr c'est un sujet très préoccupant! ;-))

Au fond, nous tous avons les mêmes craintes, joies, interrogations et j'en passe, concernant la vie. Grâce au Web nous allons peut-être une fois réaliser que nous nous ressemblons tous, au fond.

Nous le savons tous très bien, mais justement: entre savoir et vraiment REALISER, il y a un abîme....

samedi 10 septembre 2011

Mes deux vies me conviennent...

Quelle magnifique journée aujourd'hui! Si chaude et estivale. Un vrai plaisir de découvrir avec mon compagnon de vie une belle vieille petite ville au bord d'un lac. On se serait crus en été. Les gens flânaient dans les ruelles de la ville, étaient assis sur les terrasses des restaurants et cafés et se promenaient au bord du lac. J'ai apprécié de passer cette journée avec mon mari.  On n'arrêtait pas de parler ensemble. Il fait beau avec lui. Il existe une complicité formidable entre nous. Tant de choses vécues ensembles, tant de joies et de peines partagées, tant d'expériences faites ensembles, tant de découvertes.Une vie riche derrière nous et une vie riche devant nous.

De l'autre côté Kenan avec qui je partage des toutes petites parties de ma vie. Ces parties de ma vie comptent et je tiens à cet homme. Actuellement j'arrive bien à séparer ces deux vies, à ne pas laisser prendre l'une le dessus sur l'autre. Il faut être vigilant, je le sais bien. Mais pour le moment, j'arrive à jongler ainsi. Et ma vie ou mes deux vies - si on veut - me conviennent.

vendredi 9 septembre 2011

Kenan...

J'en ai assez de parler de "mon" amant. Ce mot ne désigne pas vraiment ce que cet homme est pour moi. Dorénavant "mon" amant se nommera donc Kenan. C'est un prénom celte. Il est court et à mes yeux il correspond assez à lui. Je viens de trouver la signification de ce prénom. Cela veut dire beau.

Je ne voudrais en aucun cas réduire "mon" amant à ce terme "beau", bien qu'il soit effectivement beau.Par contre ce n'est pas une beauté qui vous frappe au premier regard, mais alors au deuxième.... En plus, en parlant avec lui, j'ai découvert peu à peu un être  intelligent, intéressant, avec une vivacité d'esprit surprenante, en même temps d'une simplicité désarmante, plein d'humour, ne se prenant pas trop au sérieux. Il a tellement de facettes... et puis des yeux à me noyer dedans.... et puis de belles mains (ohlàlà, je me les imagine déjà sur mon corps...)  et sa voix, une voix qui me caresse.... et, et, et.

Vous ne voudriez pas me dire ce qui vous a attiré chez votre  amant(e) ou épou(x/se)???? Cela m'intéresserait vraiment! Commentaires anonymes sont aussi bienvenus. Merci d'avance. :-)))

Ces petits mots doux qui font du bien...

Quand je n'ai pas la forme, le besoin d'écrire à "mon" amant est encore plus grand. En recevant un petit mot en retour, ma journée s'illumine et tout va toute de suite mieux.

"Mon" amant réagit autrement. Quand il ne va pas bien, il ne m'écrit pas. Silence radio. Rien de rien. Mais par contre il répond à mes petits messages. Cela lui fait du bien et énormément de plaisir de recevoir des petits mots doux de ma part. Il me l'a fait savoir ce matin.

Donc j'ai enfin saisi cette fois-ci et j'en tiendrai compte à l'avenir.

Pour toutes celles ou tous ceux qui sont dans le doute quand il n'y a aucun petit signe qui arrive de la part de vos amants ou de vos amantes: ils réagissent peut-être comme "mon" amant?!


jeudi 8 septembre 2011

Rêve... dédié à mon amant

Nous nous trouvons dans le même train mais pas dans le même compartiment. Nos mobiles sont allumés et pendant tout le trajet nous n'arrêtons pas d'échanger de petits messages, tantôt tendres, tantôt coquins.

Notre attente de se retrouver devient presque insupportable tout en étant en même temps si délicieuse.

Pour ne pas être reconnus par une connaissance quelconque nous avons décidé de nous retrouver dans un petit café que tu connais bien. Pourtant le hasard veut que nos regards se croisent dans la gare déjà. Un beau sourire illumine ton visage, un sourire qui traduit tout ce que tu m'as déjà fait savoir dans tes petits textos tout à l'heure. Une vague chaude de bonheur et d'envie envahit mon corps. Quel délice, quel supplice! Mon corps et mon coeur sont qu'attente...

Cette ville me rappelle des souvenirs de jeunesse, d'insouciance. Mais cette insouciance je compte bien la retrouver ces deux jours et cette nuit avec toi... Nous allons être insouciants, débarassés de tout le poids des responsabilités et des obligations.

Je te vois de loin, assis à une petite table sur la terrasse de ce café où tu m'as dit de te rejoindre. Je m'arrête un moment pour te contempler. Tu es beau. Je te désire. Quand je me rapproche de ta table, je me sens tout à coup  intimidée. Je te colle un gros bisou sur ta joue et m'assieds à côté de toi. C'est bizarre comme nous sommes embarassés. Incroyable. J'avale en une gorgée le ristretto que tu m'as commandé. J'ai hâte d'aller à l'hôtel avec toi, de me retrouver dans tes bras. Ces gens autour de nous m' insupportent. Je veux être dans un endroit clos avec toi, loin du monde. Je veux te retrouver. Dans ce monde on n'est pas à l'aise. Toujours cette peur que quelqu'un pourrait nous reconnaître. On est trop marqué par cela.

Nous avons tellement hâte de nous retrouver dans notre chambre d'hôtel que nous prenons un taxi  pour ces quelques centaines de mètres qui nous séparent de l'hôtel.Tu  as déjà les clefs de notre chambre.

Nous ne prenons pas l'ascenseur.Nous voulons savourer le plaisir de monter les escaliers. Je te précède. Le tissu de ma robe est fluide et joue avec mes formes.Tu sais pertinemment bien que je ne porte rien sous cette robe. Bien entendu, je n'ai pas manqué de te le faire savoir quand nous échangions les textos dans le train...

La suite je te la raconterai quand tu te retrouveras dans mes bras. Je t'assure qu'elle te donnera envie de réaliser ce rêve, tu verras!!!

Je t'embrasse, mon amant si occupé ces temps-ci.

mardi 6 septembre 2011

Tromper sans pour autant culpabiliser.... (article trouvé sur un blog)

Un paradis en Chine pour l'amour libre

Tromper sans pour autant culpabiliser : c'est possible chez les Na, une petite ethnie chinoise où l'on a depuis longtemps oublié ce qu'était la jalousie conjugale ! Ils sont à peine plus de 30 000, vivent aux confins de la province chinoise du Yunnan et sont tous polygames ! Le peuple Na constitue une exception mondiale : c'est la seule ethnie répertoriée dans laquelle le mariage n'existe pas, une société où les hommes ne possèdent pas les femmes. Tout n'y est pas permis puisque l'inceste reste un tabou chez les Na. On ne parle jamais de sexe dans les maisons et toute allusion sentimentale est interdite. Ce n'est qu'à la tombée de la nuit que les hommes s'adonnent à la "visite furtive". Ils se rendent discrètement auprès des femmes qui les acceptent ou les rejettent selon leur humeur. Le visiteur furtif peut passer la nuit mais devra impérativement avoir disparu à l'aube. Quand les Na atteignent l'âge de 35 ans, ils réduisent leur activité sexuelle et les petits tours "au pied des fenêtres" des filles deviennent alors de bons souvenirs de jeunesse. Une femme peut recevoir autant de visites furtives qu'elle le souhaite et pour simplifier les choses, tous les amants portent le même nom, "acia". Aucun homme n'ayant de femme attitrée, il n'y a pas de jaloux et surtout pas d'attachement affectif.

Personne ne se jure fidélité puisque cela n'a pas de sens ! De temps en temps, la visite se fait moins furtive et le représentant mâle est invité aux yeux et au su de tous. Mais qu'ils n'aillent pas se faire d'illusions, chez les Na, les enfants nés de ces unions restent dans le giron de leur mère. Garçons et filles sont uniquement élevés par leur mère puisque celle-ci n'a pas de mari officiel. Il n'existe d'ailleurs pas de mot dans la langue Na pour désigner l'époux. Et si dans certains cas le géniteur n'est pas bien loin, il n'est qu'un étranger. Le concept d'infidélité est donc inexistant pour eux. 

Le régime de Pékin tente de mettre fin au particularisme sexuel des Na en leur imposant le . Des terres sont distribuées aux  qui prétendent vouloir fonder un foyer, les naissances sont sujettes à de lourdes amendes mais les Na persistent : des "acia" oui, mais surtout pas de maris !
 

Cette envie de m'échapper...

Des fois quand je conduis et fais de longs trajets, je mets la musique à fond et il m'arrive de rêver. Je continuerais la route qui me menerait je ne sais où. Je me laisserais guider par mes envies du moment. Je téléphonerais aux miens pour les informer afin qu'ils ne se fassent pas de soucis et je laisserais ma vie quotidienne pendant quelques jours entre parenthèses.
Je serais libre de m'arrêter où j'aurais envie, de rester où cela me chanterais et j'aurais tout le temps du monde à réfléchir à ma vie, à la vie en général... Et je reviendrais auprès des miens avec un immense plaisir, entièrement reboostée... Quel beau rêve... Qui sait, peut-être que je vais le réaliser une fois...

lundi 5 septembre 2011

Jamais rien n'est acquis dans la vie!!! Attention aux amant(e)s inattentionné(e)s

Il faut soigner nos relations, toutes les relations. Il faut les bichonner, toutes, si on y tient. Comme cela elles vont rester vivantes, belles, enrichissantes et surtout elles continuent d'exister...

Autrement elles vont se mourir comme une plante, faute de soleil et d'eau.

Ce sont les petites choses qui comptent et cela, on l'oublierait tellement facilement.

Envoyons des sms, téléphonons, écrivons des lettres, rendons visite à ceux et celles auxquel(le)s nous tenons.

JAMAIS RIEN N'EST ACQUIS ET ENCORE MOINS UNE RELATION!!!!


dimanche 4 septembre 2011

Pourquoi S'Aimer? - poésie

Pourquoi S'Aimer?

Pourquoi y croire.
Pourquoi y penser.
Pourquoi le vouloir.
Pourquoi l'oser.

Parce que dans ce monde et cette vie de misère
Il donne un espoir de bonheur et de joie.
Parce que dans nos coeurs fragiles d'une douceur amère
Il donne une raison à notre si belle foie.

Pourquoi lui sourire.
Pourquoi lui montrer.
Pourquoi l'entretenir.
Pourquoi l'idolâtrer.

Parce que dans les bons comme les pires moments,
Il donne une envie de vivre et d'apprécier.
Parce que dans son feu des plus ardents
Il donne l'espoir de se voir récompenser.

Pourquoi en goûter.
Pourquoi en jouir.
Pourquoi le louer.
Pourquoi le maintenir.

Parce que nous les hommes nous en avons besoin,
Pour pouvoir déguster son si beau plaisir.
Parce que sans lui, c'est l'impression d'un vide au loin,
Que seul lui peut combattre et détruire.

Pourquoi s'en nourrir.
Pourquoi s'en abreuver.
Pourquoi s'investir.
Pourquoi s'aimer.

Parce qu'au fond de nous, il nous donne faim,
De tout ce qu'il pourrait nous apporter.
Parce qu'après tout, lorsque sa flamme brûlante nous rejoins,
Il nous berce et sait nous faire danser.

- Marc Mezei -

vendredi 2 septembre 2011

Pourquoi prendre ce risque? A quoi bon?

Je n'ai pas de nouvelles de mon amant. Je lui ai envoyé un petit sms hier matin. Pas de réponse... Cela ne lui ressemble pas... Surtout après ce qu'on a vécu le jour avant. Je suis trop fière pour lui envoyer un autre sms... En même temps je me dis qu'il y avait peut-être une raison pour sa non-réponse... Bref, des interrogations sur tout cela, notre relation.

Je me demande pourquoi je m'inflige tout cela. Ces hauts et ces bas? Suis-je une de ces femmes trop gâtée (actuellement en tout cas) par la vie qui s'ennuyerait et qui chercherait des complications? Suis-je une masochiste? Suis-je autodéstructrice?

Non, je ne m'ennuie pas, je ne suis pas non plus masochiste. Mais autodéstructrice? Je n'en sais rien. Il faudra que je creuse au plus profond de moi. J'y trouverai peut-être une fois une réponse.

Pourquoi avoir cédé à la tentation l'année passée? Et ne pas arrêter d'y céder?
Pourquoi ce besoin de vivre une double vie?
Pourquoi prendre ce risque de tout ficher en l'air, aussi bien de mon côté que du côté de mon amant?
Pourquoi jouer avec le feu et ne pouvoir m'arrêter comme si une énergie intérieure m'y forçait?
Pourquoi toutes ces complications?
Juste pour quelques moments délicieux, rares?

Si on compte les heures qu'on s'est vus, cela fait combien sur une année? Approximativement 60 heures en tout? Pour une année entière? 60 heures divisées par 12,sont 5 heures par mois, et 1 1/4 h par semaine? Ce n'est rien du tout. Une année compte à peu près 8'736heures. Supposons que nous dormons le tiers de ce temps, l'autre tiers pour le travail (pour simplifier) ... restent 2'912 heures. Et de ces 2'912 heures j'ai rencontré mon amant pendant à peu près 60 heures, approximativement 2 %.... de toutes ces heures. Cela veut tout dire, non?
Bien sûr, ces deux 2% ont eu des effets positifs sur ma vie, m'ont permis de planer, de rêver, de me sentir si heureuse et bien pendant quelques jours après nos rencontres. Il faut en tenir compte également.

C'étaient des heures inoubliables qui m'ont fait renaître, qui ont chamboulée ma vie, qui m'ont changée. Et je suis toujours aussi reconnaissante pour tout cela.

Dans ces 60 heures ne sont pas incluses les échanges par sms qui font une grande partie de notre relation également, et qui se somment par des heures et des heures, mais bon...

Je suis dans l'interrogation aujourd'hui. Pourquoi tout cela?

Mon mari m'aime, bien plus que jamais. Il vit la vie de tous les jours avec moi, la vie banale et malgré cela belle, partage mes peines et mes joies (à part celles de l'adultère....;-)) ), me soutient, m'aime avec mes défauts, m'entoure de son attention, prend soin de moi. Et moi? Je veux mettre tout ça en danger!!!! Pour quelques heures de bonheur exceptionnel, où j'oublie tout, où je ne suis plus celle de tous les jours... où je m'échappe et deviens autre, libérée,celle que j'aimerais vraiment être si on me donnait une deuxième vie.  Une femme libre et indomptable (à part quand je le souhaite expressément ... ;-)  ). Et cela pour quelques petites heures par année????

Cela vaut-il la peine?

jeudi 1 septembre 2011

L'atterrissage après l'apogée....

C'était trop beau hier. Pour cette raison il est d'autant plus difficile de revenir sur terre...

Pourtant il fait aussi beau  sur terre, mais bon... ce n'est pas comparable avec les sphères la-haut.

Mon amant me faisait part de sa crainte que je pourrais une fois le quitter...  Il tient à moi et je tiens à lui. Je lui ai dit que j'aimerais bien avoir deux vies et les vivre paralèllement, une avec lui et une autre avec mon compagnon de vie et mes enfants...

Eh oui, fait beau se perdre dans les rêves...

Je suis assez confrontée à la réalité d'habitude, alors j'aime bien m'échapper de temps en temps. C'est ce que je fais avec ma double vie. Je plonge dans un monde hors réalité, m'y perds complètement tout en vivant ce moment le plus intensément possible...