samedi 18 février 2012

Violence du manque...

Pas de possibilité de se voir cette semaine. Curieusement je n'étais même pas en manque. Je pensais à lui avec tendresse, lui écrivant de brefs messages chaque jour.

Aujourd'hui, en conduisant, j'ai écouté de la musique - une mélodie et des paroles qui me touchent profondément à chaque fois que je les entends - et le manque de Kenan m'a submergée comme un tsunami....
J'ai été surprise par la violence de cette vague.... Une douleur physique et psychique. Pourtant j'ai cru être entrée dans une autre phase de notre relation.... plus calme, plus sereine.

2 commentaires:

  1. Quand j'ai vu le titre de ton billet sur mon blog roll, je savais...que ce que tu ressentais était exactement ce que je ressens ces jours ci...il est au ski avec femme et ados..et je souffre...sans le lui dire...surtout ne rien dire...

    RépondreSupprimer
  2. Non, il ne faut rien dire. C'est ce que je me dis aussi... Et pourtant je me demande si c'est juste ce que nous faisons... Pourquoi ne pas leur exprimer nos ressentis? Est-ce une crainte de leur faire peur? Est-ce de l'autoprotection, de la fierté? Ou protégeons-nous nos amants?

    Il m'arrive de me dire que notre monde serait bien plus simple si on exprimait nos émotions, nos sentiments, surtout aux personnes à qui on tient. Mais est-ce que ces personnes seraient prêtes à les entendre?

    Bon courage, Cat, pour passer ces journées sans lui. Bien à toi

    RépondreSupprimer