Bizarre ce qui peut se passer dans ma tête. Après avoir passé un magnifique moment de bonheur, de pur bonheur, je suis remontée contre Kenan. Je lui en veux parce que c'est trop beau, trop bon, et vraiment bien trop dur de revenir sur la planète TERRE. Franchement, je souhaiterais des fois que nos moments soient moins délicieux. Ainsi j'aurais moins de peine à être sans lui. Il ne me manquerait pas autant.
Vive l'existence faite de routine, agréable, sans excès, plate et morne, sans hauts ni bas. Un long fleuve tranquille, n'est-ce pas? Ne serait-ce pas reposant?
Je n'en veux pas de cette vie-là et pourtant - des fois - cela me ferait des vacances... ;-)
C'est aussi ce que je me dis parfois, Anaïs : ne rien attendre, ne pas être en manque de lui, qu'est - ce - que ça doit être reposant !!! et en même temps, je sais très bien que je ne pourrais pas me passer de ces moments de pur bonheur ... Le problème, c'est qu'une fois qu'on a goûté aux plaisirs de l'adultère, on peut difficilement revenir à une vie tranquille; et je pense que c'est une vrais addiction; d'ailleurs, j'ai un tempérament addictif; ça serait curieux de savoir si la majorité des amants adultérins ont ce travers ...
RépondreSupprimerKay, on est donc dans la même situation... :-). C'est en effet une vraie addiction. Seulement je ne sais pas si je suis dépendante de la vie adultérine ou spécifiquement de Kenan. Je pencherais plutôt pour ce dernier... ;-)
RépondreSupprimerJe ne pense pas que j'ai un tempérament addictif, à part pour Kenan ou la vie adultérine et bien sûr le café! (rire)
Je n'aime pas la routine, je recherche l'aventure, le défi, les difficultés, l'imprévu... Donc je suis très bien servie de ce côté-là avec ma vie adultérine...